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Delphes et Tom en asie !

De Darjeeling a Bodhgaya

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Namaste ! (tom) V oici un bref epilogue de notre passage par le "Ghorkaland"... Petite precison : ce terme designe les contrees du nord du West-Bengal, qui cherchent a faire cessession de cet etat -cf carte pour constater qu'effectivement ces bleds du nord n'ont pas grand chose a voir avec Kolkata !... A vrai dire Kolkata etait historiquement plutot liee au reste du Bengale, c'est a dire le Bengladesh, qui a fait cessession de l'Inde en meme temps que le Pakistan, sur un fond de conflit inter-religieux. Le Bengladesh s'est retrouve detache de son port majeur, et Kolkata de son fournisseur... Ce...

De Kolkata a Darjeeling (Bengale de l’ouest)

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De Kolkata a Darjeeling (Bengale de l’ouest)
De Kolkata a Darjeeling (Bengale de l’ouest)

Namaste! Il est 23h, nos billets de train en poches (reservés dans une agence, a Kolkata, qui se paye en se prenant une commission de 100 roupies =10 francs!), nous partons, accompagnés de notre nouvel ami, Kader, a la recherche du taxi le moins cher pour la gare, en partance pour Darjeeling. U n indien, certainement un peu fou, croisé plusieurs fois sur notre chemin, se propose de nous prendre sous son aile en discutant fermement le prix avec un taximan qui finit par accepter un prix bas, sur un ton de net mécontentement…Nous sautons dans le taxi, car les échanges deviennent de plus en plus violents,...

Calcutta !!! (premieres impressions)

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Calcutta !!! (premieres impressions)
Calcutta !!! (premieres impressions)

O u Kolkata, selon sa nouvelle orthographe, plus adaptee a la langue locale... (par Tom) J e vais tenter de resumer les premieres impressions a notre arrivee ici, forcement nombreuses et complexes, pour une premiere visite en Inde... qui plus est debutant a Kolkata ! Sa reputation est bien triste : on imagine tous les gamins dormant toute la journee sur le trottoir, les rats partout, le traffic insense, le bruit partout, la puanteur souvent, la follie, presque. Eh bien grosso modo, c'est comme ca. A lors forcement, ne serait-ce que par ces cotes choquants ou stressants (au sens premier : stimulation...

transit a Bangkok

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N ous revoila a Bangkok... L es frontieres terrestres du Myanmar sont fermees depuis longtemps (ce sont des zones de conflit entre le pouvoir en place, si pourri, et les minorites independantistes... et un bon moyen de controler le flux touristique, et de palper quelques taxes en plus !). D'ou l'obligation de prendre l'avion pour entrer et sortir du pays. Les lois du low coast etant les memes qu'ailleurs, il nous coute beaucoup moins cher de repasser par Bangkok en allant en Inde que de faire le trajet directement depuis Yangon, ce qui serait quelque peu plus logique !!! E n consequence, nouveau...

Les merveilles de Bagan.

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par Delphes F rais comme des gardons apres seulement 6 heures de bus, nous arrivons a 14h a Nyaung U, un village proche du site de Bagan. Accueillis , comme d'habitude, par une horde de rabatteurs en caleche ou en trishaw (velo side-car), nous faisons mine, pour y echapper, de savoir dans quelle guest-house nous irons passer ces 4 prochaines nuits. Les jambes dans le coton, (malade pendant 5 jours suite a une intoxication alimentaire), je croule sous le poids de mon sac qui me parait plus lourd a chaque pas. La chaleur y est aussi pour beaucoup. D eja apercevons nous des hommes assis en tailleur...

De Mandalay a Bagan, en passant par Phin U Lwin

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Thomas continue H ello la campagnie ! " M ingalaba", comme on dit ici. D ebout la-dedans ! Delphes semble se sentir mieux au reveil, on a passe suffisamment de temps a Mandalay (et l'heure tourne : meme si ca peut paraitre etonnant a qui n'est pas habitue au voyage independant, un mois de visa n'a rien de trop long pour visiter un tel pays sans passer a cote de ses atouts profonds, comme la richesse de la population, les specificites de son mode de vie...). Conformement a nos plans de la veille, un lever pas trop tardif ni trop precoce, puis un rapide petit dej a l'hotel (les habituels "toasts"...

De Inle a Mandalay

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Tom continue, Delphes se repose... C omme prevu, le reveil a 4h30 est un peu rude. Nous faisons nos adieux au personnel de Queen Inn, et filons vers le nord en voiture. Une demie heure plus tard, nous atteignons la route principale, ou passera a 5h30 un bus en direction de Mandalay. Duree de trajet prevu : 12h.... S ur la carte (veriofiez donc par vous meme sur la carte disponible sur ce blog), le trajet est court. En realite, une grosse moitie (a vol d'oiseau) du trajet se deroule sur une route de montagne completement pourrie, si bien qu'on n'atteint la jonction avec l'axe nord-sud (Rangoon-Mandalay)...

lac Inle !

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D elpes reprend la main ! S ur les bords du lac Inle (transition avec l'article precedent !) A pres 5 heures de marche en pente douce sur un chemin caillouteux, nous apercevons enfin la fine couche de brouillard couvrant ce qui semble etre le Lac Inle. Nous decouvrons aussi, avec plaisir, un ensemble de vieux stupas au sommet d'une colline : le temple du village d'Indein, comme sorti de nulle part. Malheureusement, ce village, situe au sud ouest du lac, est denature par la multitude de stands de souvenirs a touristes qui nous accueille juste avant notre pause dejeuner, au bord d'un canal a l'eau...

Rangoon-Inle 3 : de Kalaw au Lac Inle (fini)

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Tom continue ! L e debut du trek est fixe a 8h, l'horaire du lever n'est donc pas trop rude... N ous retrouvons Sam dans son restau, qui nous presente son neveu, notre guide, et un autre jeune, notre cuistot. Le the est servi, comme toujours au Myanmar, a notre arrivee. Nous rejoint ensuite l'autre "couple" qui constituera avec nous le groupe : un slovene avec la tete dans les epaules et les cheveux blonds au carre, et une autrichienne metissee europe-asiat'. Les recommandations et conseils sont donnes : Sam, vieil homme au regard doux et intelligent, tient a nous faire comprendre la "mission"...

Rangoon-Inle 2 : De Kyaiktiyo a Kalaw

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Tom reprend la plume… N ous voila donc a Bago, pour 2 bonnes heures supposees d’attente. C omme on pouvait s’y attendre, nous sommes rabattus vers une agence, portant la meme enseigne que le restau ou on nous a donne de “bons tuyaus” pour ce trajet… Ces enterprises de transports sont bien les memes partout : ces filous font tout leur possible pour ramasser des dollars rapidement, trimballant les passagers comme des sacs de riz ! Les methodes sont malgre tout plus douces au Myanmar qu’ailleurs, et le type qui nous acceuille n’est pas un mauvais bougre, il accepte a peu pres le tarif qu’on lui propose...

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